vous pr�sentent leur "Mus�e imaginaire"
(www.arts-et-maximaphilie.org)
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| Par un travail monumental les hommes ont voulu rendre agr�ables les objets d'usage courant ou non
et pouvant d�corer. L'ensemble de ces activit�s artistiques, dont la tapisserie, ont �t� appel�s : Arts D�coratifs.
D�s la fin du XVIe s., se produit la lente agonie de la tapisserie. Tout au long du XIXe s., elle ne fait que des copies de tableaux ou reprend des mod�les des XVII et XVIIIe si�cles. Au XXe s., le renouveau vient de Jean Lur�at qui, apr�s avoir �tudi� les tapisseries du Moyen �ge, s'attache � simplifier le graphisme, � une composition simple et � une vingtaine de tons. Il utilise un gros fil qui cr�e un tissu robuste, rugueux, simple et lourd, destin� � habiller le mur et � s�duire. Lur�at cr�e ensuite des images po�tiques qui racontent les �v�nements, les textes, l'homme... Ainsi sont pos�es les bases de ce nouvel art. Des peintres-cartonniers, des peintres, des sculpteurs et des architectes pr�tent alors leurs talents � cette vision de la tapisserie. Tapisseries pr�sent�es : |
| Lur�at, "Lune et Toro"
Mathieu, "Hommage a Nicolas Fouquet"(*) |
Picart le Doux, "Hommage � J. S. Bach" |
(*) Mathieu Georges est surtout connu comme peintre non figuratif. Dans ce cas pr�cis, il a peint le "carton" de cette tapisserie.
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LUR�AT JEAN (1892-1966)
Laine 142x109 cm.
Timbre : |
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MATHIEU GEORGES (n� en 1921)
Laine 4,9x4,9 m ; Tapisserie des Gobelins (haute lisse).
Timbre : |
| PICARD LE DOUX (n� en 1902) |
"Hommage � J.-S. Bach", 1965
Laine 204x304 cm.
Ateliers d'Aubusson (basse lisse). |
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Timbre : �mis le 20/09/1980 ; h�liogravure. Carte :
Oblit�ration :
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